Sur le toit du monde
By Philippe L. Florianopolis/Brésil (1er/02/2005)
 
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Maintes fois j'ai rêvé me trouver au sommet
Inaccessible instant impossible présent
Ne devons-nous pas croire nous ne devons échoir
Ha, toi amour fuyant, pourquoi es-tu si lent
A vouloir espérer j'en viens même à douter.
 
Quand la première fois j'ai vu surgir tes pas
Une seul'fois j'ai cru que tu m'avais tant plu.
En venant jusqu'à toi ton cœur m'émerveilla
Rêve ou envie soudaine que ton âme soi mienne
Il faut Ju que tu saches que les mot que je lâche
Doivent leur seule raison à mon cœur, mes passions
A présent ma démarche est d'aimer sans relâche
 
Je ne puis le nommer ni même savoir qui sait
Utopique illusion, illusoire option
Libre à moi d'espérer, libre à toi d'accepter
Il faut qu'en aucun cas te demander un choix
Advienne qui pourra, verra bien qui saura
Ni foi cent lois nient Dieu ne peuvent me rendre heureux
A trop penser à toi je suis pas sûr de moi.
 
Tu dois peut-être te dire que ce n'est qu'un soupir
Envies du cœur qui vallent qu'une dose minimale
 
Dire que je ressens pour toi des sentiments
Offre-moi tes pétales, tes saveurs que j'exalte
Un zeste d'effleurement, ton corps en mouvement
 
Où j'y dépose caresses, des baisers qui te laissent
 
Miroiter des désirs, suinter cet élixir
Entre démence, sagesse, je te veux ma princesse
Une nuit de plaisir qui nous offre joie et rire
 
Contre cœur car je t'aime je m'résigne fuir ta fleur
Où un autre que moi saura t'aimer cent fois
Retiens tristesse et pleurs je ne suis fait pour toi
Assurément je crois l'homme qui t'aime n'est pas loin
Ça se trouve en douceur, délicatesse et soin
À cœur vaillant tu voues, bien des passions, remous
On te présage bonheur, tel sera mon dilemne.